Seul sans voyageurs, avec son discours à soi en tête à tête, Kyoto est parfaite dans les excentrés, dans les interstices, même dans le coeur de Gion. On lui donnera le sexe féminin. Kyoto n’existe pas, tout comme ailleurs. Il y a des quartiers, des attitudes, des feintes, des vitesses de croisière à soi. C’est surtout cela : des feintes et des vitesses de croisière. Mission : trouver ses pas, et feindre, sans compter. Dans les villes, il n’y a pas de touristes, mais des flux et des nodes de stagnations touristiques à visées consuméristes. Pour observer ces phénomènes, il faut thermodynamiser le regard. Le touriste déclenche deux réactions contradictoires : 1. le mépris, 2. l’empathie. S’entraîner au point 2. Pauvres troupeaux de personnes âgées clairement souffrantes, épuisées de long courriers. Des couples aves bébés en poussettes. Envoyer la salve des contre-arguments automatiques. Y font c’qui veulent. Y z’ont choisi. Kès que ç’a-t regarde? Chacun police l’opinion d...