#### 1. A Kamakura A partir de Nishi-Oi, le train accélère de façon considérable. Reviennent des souvenirs de sensation de malaise quant allant à la mer. On préférait l’autre ligne peut-être un peu moins rapide, mais dont les manifestations physiques, secousses et roulis, et aussi le son dans des habitacles pas tant insonorisés que cela s’accordaient mieux avec le matériel ferroviaire, ici sur la ligne Yokosuka comme si poussé dans ses extrêmes limites du convenables. Il faudra prendre l’autre ligne plus placide, plus dans l’idée du train au retour. ####2. A Kamakura-bis Heureusement hors des sentiers, Kamakura ressemble à Kamakura à n’en pas douter. La signature des lieux est forte, mais si pas ces collines jungles qui montent soudain comme des murs, certaines perspectives rappellent Kyoto hors le cirque central; certaines sont réminiscentes de spots du côté des périphéries typées de Yanaka. Le terrain est comme déjanté d’une commune qui n’aurait pas beaucoup d’argent pour l’entretien
De beaux textes, de superbes photos, beaucoup de prétention. Une écriture diariste de Tokyo dénuée de plan com et de spectacularisation. Lire l’à propos et les autres onglets. Pour me contacter : ldersot@gmail.com.