Tracer des parallèles impensées
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Requiem pour un immeuble. On dit merci et adieu. |
Dans une interview d’Eric Hazan disparu l’an passé au sujet de Balzac Paris, il cite les Lorettes, certaines artistes de scène, comme des femmes qui apportaient bienveillance aux usagers. Dans une interview, Liza Dalby, l’auteure de Geisha des années 80, souligne que ce que les Geishas performent à la perfection, c’est l’empathie.
Titre d’un ouvrage halluciné : Lorettes et Geishas, costumes, pratiques et rôles dans la société patriarcale.
A noter que le guide Où écrire à Tokyo figure désormais et en attendant mieux en ligne via l’onglet sur la top page d’ici et directement via ce lien.
Dans une dynamique parallèle découverte récemment et bien tard, Anne Savelli et comparses élaborent depuis un temps long sur les lieux d’écritures, et de lectures.
C’est là que Berlin réapparaît qui n’est pas un hasard, où ils ont bien de la chance de pouvoir ainsi se poser dans tant et tant d’endroits.