On m’a suggéré que l’explication n’était pas claire. Un peu plus de clarté donc. La résidence mobile d'Écrire à Tokyo Une utopie concrète Présentation Il n’existe à notre connaissance que trois exemples de résidences artistiques internationales au Japon où s’insère l’écriture : la Villa Kujoyama, la récente résidence d’écriture à Kyoto, le Palais des paris à Takasaki. Qui dit résidence dit lieu fixe, en dur. En l’absence de lieu dur et fixe, Ecrire à Tokyo propose l’utopie concrète d’une résidence mobile, c’est à dire de prendre tout Tokyo comme lieu. Le mot "résidence" est donc ici à prendre au sens le plus large possible, large et vaste comme la métropole tokyoïte, mais sans la rengaine de la vue dronique extatique invariablement attachée à la description pavlovienne de la mégapole. Il s'agit bien de suggérer un environnement propice à la création littéraire et soutenir les auteurs, les personnes qui écrivent, les amateurs en tête, mais selon des modalités inhabit
Il en va des photos prises de très haut comme les photos sans relief mais qui éclatées en grands formats en jettent lors d’une exposition comme on en trouve à la pelle dans cette ville, dans les galeries d’art … où n’importe quel retraité imbu de sa personne et de son cher matériel photo cher, peut louer les lieux pour se faire valoir le nombril encadrés sur les murs. M m’envoie quelques heures après cette photo prise d’en haut … de la Sky Tree. Cette ville est-elle belle, ou/et impressionnante à cette hauteur comme n’importe quel paysage qui pris de très haut - la Terre bleue - en jette? A cette hauteur, sans y être soi-même, la ville se confond en partie avec une carte, une carte en novembre qui est le sujet du verbe être à Tokyo en cette saison. - Le gris de novembre qui plus tard aura tourné au bleu - Novembre au Japon qui d’ici 50 ans aura perdu ses quatre saisons réduites à trois, faire reconnaitre novembre comme trésor intemporel de l’humanitéCOP, un novembre quintessentiel,