L’IA a effacé les personnes mais pas leur bagages laissés en plan. L’homme au rat, pas celui de Badiou, chasse les rats et souris à domicile. Je l’ai vu en action. C’est un homme d’action violente, un prédateur. Une fois que les pièges et les substances n’ont rien donné, il ne reste que la traque suivie de la poursuite flash de l’animal repéré dans le périmètre exigu de l’intérieur, un journal plié en bâton à la main en guise de massue. C’est violent, efficace, stressant comme dans un film au moment de la scène du dénouement violent. Il semble ne jamais manqué son coup. J’ai entendu dire que l’homme au rat a été recruté quelque part vers 2017 pour couper des arbres effondrés dans un temple suite à un typhon. Comme je l’avais vu un jour à Kishimojin bien par hasard, et à bien y penser, probablement à la même époque, où d’ailleurs aussi dans le temple très proche d’ici, un arbre imposant s’était effondré, l’opération de découpe fut précédée d’une cérémonie religieuse d’intercession ...
De beaux textes, de superbes photos, beaucoup de prétention. Une écriture diariste débutée à Tokyo depuis une trentaine d’années, dénuée de spectaculaire et de fantasmes. Lire l’à propos et les autres onglets. Les commentaires sont désactivés. Pour me contacter : ldersot@gmail.com.