Brève de Kurashiki, 2

Pour faire très bref, on dira que l'ordre des discours doit être modifié, par soi et pour soi, et pour qui s'accompagnement. Il n'y a pas d'équivalent à Tokyo au réseau matinal qui s'étire de rues et ruelles marchandes couvertes d'une luminosité sombre unique. Seul le goulet à Minowa a un air évanescent de famille.

Dans l'ordre des choses marchandes, c'est ici qu'il faut débuter et finir la journée. Pas un établissement de chaîne en vue.
C'est que, à force, tu connais plutôt bien la grammaire urbaine d'ici, la Prosodie des quartiers, les petits, les compacts, ceux qui offrent dans le meilleur des cas, ce cas-ci, à la fois la petite joie attachante de la découverte et dans la foulée un sentiment de familiarité immédiat et possible, s'il s'agirait par exemple d'y passer une semaine. Sans problème.